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Comptabilité Nationale V9 (MRT_RLS_A) Version imprimable Suggérer par mail
Mauritanie

Tableau A : cadre de référence
Secteur réel


CADRE PRINCIPA
L : Comptabilité nationale

Intitulé national (en cas de différence, préciser)


EXTENSION(S) ENCOURAGEE(S) :

(s’il y a lieu)
   
Indicateur spécifique au pays (en cas de différence, préciser)

Publication méthodologique nationale :
(s’il y a lieu, avec les informations sur la manière de se la procurer)

« Notes méthodologiques pour l’estimation du PIB en Mauritanie », document disponible sur demande auprès de l’Office National de la Statistique .

Date de mise a jour des metadonnees : Avril 2004

I. Cadre analytique, concepts, définitions et classifications

Décrivez le cadre analytique utilisé, en précisant les principales composantes publiées; les systèmes de classification utilisés; et toute disparité éventuelle (de champ d’application ou de procédure, par exemple) entre données de périodicités différentes. S’il est fait usage des directives statistiques internationales (ou régionales), veuillez préciser les points sur lesquels le cadre est conforme à la directive, et ceux sur lesquels des modifications nationales ont été apportées. Il convient de signaler les modifications les plus importantes.

Cadre analytique, concepts et définitions

Les comptes nationaux de Mauritanie sont élaborés en référence au Système de Comptabilité Nationale des Nations Unies, version 1968 (SCN68).

Le Service des Statistiques de Production et des Comptes Nationaux publie annuellement les données définitives sur :

- le PIB par genre d’activité économique à prix courant et à prix constants en base 1983 et en base 1985,

- le Revenu National Disponible à prix courant,

- le Tableau sur les emplois du PIB à prix courant.

L’existence de deux années de référence pour les comptes à prix constants provient du fait qu’en plus de l’année de référence utilisée par les comptables nationaux (1983), des estimations aux prix de 1985 ont été préparées pour les besoins de certains bailleurs de fonds.

Les comptes sont publiés en millions d’Ouguiyas (UM).

Des estimations provisoires sont également publiés en juin et révisées au mois de décembre de chaque année. Ils ne comprennent que le PIB par genre d’activité économique à prix courant et aux prix constants en base 1985.

Système de classification

La nomenclature de branche utilisée est une adaptation très agrégée pour l’économie mauritanienne de la classification internationale type par industrie de toutes les branches d’activité économique (CITI rév.2). La nomenclature comprend 1. le secteur primaire rural (: agriculture, élevage,sylviculture et exploitation forestière / élevage / et pêche artisanale), 2. l’industrie extractive, 3. les 

le secteur secondaire : industrie extractive, industries manufacturières (industrie de la pêche industrielle,  / autres industries manufacturières / et artisanat), 4. et les Bâtiments et les travaux publics, 5. les transports et télécommunications, 6.

le secteur tertiaire : le commerce, les restaurants et hôtels  transport et télécommunication, 7. les autres services qui comprend les banques et assuranceset 9.

la branche non marchande des administrations publiques.

L’équilibre sur les ressources et emplois des biens et des services est présenté selon les rubriques suivantes : PIB au prix du marché et importations de biens et services en ressources, consommation finale des administrations publiques, consommation finale privée, formation brute de capital fixe, variation des stocks et exportations de biens et services en emplois.

II. Champ d’application des données

Précisez les unités institutionnelles, les opérations et les zones géographiques que couvrent les données publiées. Indiquez toute différence importante par rapport aux directives internationales (par exemple : la comptabilité nationale exclut les unités engagées dans des activités informelles; les opérations de l’administration centrale excluent les caisses de sécurité sociale...). Veuillez préciser la périodicité et les délais de diffusion des données.

Unités couvertes

Toutes Les unités couvertes sont, en principe, toutes les unités résidentes en Mauritanie.

Opérations couvertes

Toutes Les opérations couvertes sont toutes les opérations sur les biens et services, y compris la production des ménages agricoles destinée à leur propre consommation.

L’activité de pêche par des armements non résidents dans la Zone économique exclusive (ZEE) mauritanienne n’est pas comprise dans le champ de la production (et les prises correspondantes ne figurent pas dans les exportations).

Couverture géographique

Le Le champ géographique couvert par les comptes est le territoire national de la Mauritanie auquel on ajoute les enclaves territoriales mauritaniennes à l’étranger (ambassades) et duquel on retranche les enclaves territoriales étrangères en Mauritanie (ambassades et représentations d’organisations internationales).

Activités non enregistrées (le cas échéant)

Ce sont les activités de fraude fiscale, les activités illicites (commerce de drogues, les activités de prostitution).Bien que toutes les unités économiques résidentes soient en principe couvertes, certaines activités du secteur informel ne son pas prises en compte. C’est notamment le cas de l’abattage du bétail, de l’extraction de matériaux de construction (gravier, sable…), de l’extraction de sel, de la transformation de céréales, etc.

Certaines activités du secteur formel, comme les bureaux de change, sont également mal suivies.

Périodicité
Indiquez la fréquence d’établissement et de diffusion des données (par ex. mensuelle, trimestrielle, annuelle)

Les comptes définitifs sont produits annuellement. Ils sont diffusés dans les la publication « agrégats de la comptabilité nationale et indicateurs socio-économique » ainsi que dans l’annuaire statistique de l’ONS.

Les comptes provisoires, annuels, sont révisés semestriellement et sont publiés avec une note explicative de quatre pages.

Délais de diffusion
Précisez le laps de temps entre la date de référence (ou la fin de la période référence) et la date de diffusion des données

Les comptes définitifs de l’année n sont publiés à la fin du premier semestre de l’année n+2.

Les comptes provisoires de l’année n sont publiés d’abord à la fin de l’année n puis révisés à la fin du premier semestre n+1.

III. Conventions comptables

Préciser le moment d’enregistrement (comptabilité de caisse, de droits et obligations ou autre (préciser)), les méthodes de valorisation, et autres conventions comptables.

Les méthodes de valorisation utilisent les prix de base pour les ressources et les prix d’acquisition pour les emplois.

Les importations sont valorisées CAF et les exportations sont valorisées FOB.

 Le moment d'enregistrement est celui de la comptabilité des droits et obligations, sauf pour les recettes fiscales de l’État, enregistrées sur une base caisse.

La période d’évaluation des comptes nationaux est l’année civile (1er janvier au 31 décembre).
 
IV. Nature des sources statistiques

Pour les principales composantes diffusées, indiquez si les données sont établies à partir de documents administratifs, d’enquêtes par sondage, de recensements ou de combinaisons des méthodes ci-dessus. Décrivez brièvement les moyens utilisés pour la collecte des données; s’il est fait appel au sondage, il convient de décrire brièvement les méthodes de sondage utilisées.

Optique de la production :

Agriculture : Les données proviennent du service des statistiques agricole du Ministère du développement rural et de l’environnement et sont issues des résultats de  l’enquête agricole annuelle auprès des ménages et exploitants agricoles (EMEA). C’est une enquête annuelle.

Élevage : Les statistiques de l’élevage sont estimées et fournies par la Direction de l’Élevage et de l’Agriculture du même ministère. Les Ces statistiques  sont établies à partir des taux d’exploitation du troupeau et de l’estimation de l’effectif du cheptel.

Pêche : La Direction des EtudesÉtudes, de l’Aménagement et de la Recherche Halieutique (DEARH) fournit les données sur les prises de lades pêches artisanale et industrielle.

Sylviculture et Exploitation forestière : Les données sont estimées sur la base des données des résultats de l’enquête sur les conditions de vie des ménages (EPCV) qui fournit des taux informations sur la consommation du de bois et du de charbon de bois.

Industries extractives : Les documents financiers de la société publique en charge de l’exploitation des gisements de fer (SNIM) sont disponibles et fournissent les informations nécessaires.

Industries manufacturières : Les sources utilisées sont les documents financiers d’entreprises disponibles à la Direction Générale des Impôts ou à la Direction de l’Industrie.

Artisanat : Aucune source d’information régulière n’est disponible pour cette branche.

Énergie : Les données sur l’électricité et l’eau proviennent de la part des sociétés chargées de la production et de la distribution de l’eau (SNDE) et de l’électricité (SOMELEC).

Bâtiment et travaux publics : Les données utilisées pour cette branche sont le Budget Consolidé d’Investissement (BCI) et le rapport sur l’exécution du BCI pour les travaux réalisés dans le secteur public, et les déclarations fiscales des entreprises de BTP pour le secteur privé moderne. Le montant des crédits accordés aux entreprises du secteur du BTP est également pris en compte.

Transports et télécommunications :La Fédération Nationale des Transport fournit les informations sur le parc automobile.

 La Direction de l’énergie fournit la  consommation et le prix du gazole. Les déclarations de salaires versés par les agences locales de compagnies aériennes étrangères sont également utilisées. Pour les télécommunications, l’Autorité de régulation fournit les informations sur les entreprises de téléphonie mobile (MATTEL et Mauritel-Mobile). Le compte de l’exploitationLes comptes financiers de ces deux entreprises, disponibles à la DGI, sont également exploitées au niveau de la Direction Générale des Impôts. La société publique de courrier Mauripost fournit les informations relatives aux activités de courrier. La société de téléphonie filaire (MAURITEL) fournit également le nombre de cabines téléphoniques gérées par le secteur privé.

Commerce, hôtels – bars – restaurants : Les seules informations sont les documents financiers disponibles à la DGI Et qui sont souvent incomplète. Le Service procède à des extrapolations pour compléter les informations manquantes.

Autres services marchands : Les sources utilisées sont les documents financiers des entreprises, collectés directement auprès de ces entreprises (pour les entreprises financières) ou consultés à la DGI (pour les entreprises non financières).

Services non marchands : Les informations utilisées sont issues du tableau des recettes et dépenses de l’EtatÉtat confectionné par la Direction du Budget (Ministère des Finances).
 
Impôts et taxes : Les informations sur les impôts et taxes proviennent de la même source.

Optique de la dépense :

Échanges extérieurs : La source utilisée est la balance des paiements de établie par la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) qui fournit notamment les chiffres d’importations et d’exportations de biens et de services.

Formation brute de capital fixe : La source utilisée pour l’évaluation de la FBCF est le rapport sur l’exécution du Budget Central d’Investissement de l’État (BCI) préparé par le Ministère des Affaires EconomiquesÉconomiques et du Développement.

Variations de stocks : La seule source utilisée est constituée des variations de stocks déclarées par la société en charge de l’exploitation des mines de fer (Société Nationale des Industries Minières – SNIM).

Consommation finale : La consommation privée est obtenue par solde et finale des administrations publiques de l’État est calculée à partir des données fournies par le Ministère  des finances sur les dépenses de l’État.
  
V. Pratique d’établissement des données

Décrivez tous les ajustements apportés aux sources statistiques (recensements, enquêtes ou documents administratifs). Ajoutez s’il y a lieu une description des procédures d’estimation des valeurs manquantes, de calcul de la taille brute des échantillons, de consolidation des données, de recoupement des sources de données, et de rapprochement avec d’autres estimations. Pour les agrégats ajustés en fonction des prix, décrivez le principe de base utilisé.

Pour les estimations de la valeur ajoutée de chaque branche, on suppose que l’évolution annuelle de la valeur ajoutée est la même que celle de la production ( les taux de consommation intermédiaire ayant été fixés). Les données sur le secteur informel ne sont pas vraiment intégrées dans les comptes. Une méthode d’estimation indirecte est utilisée pour appréhender le reste du secteur moderne qui n’est pas enregistré, grâce à un répertoire mis en place et qui permet de procéder à des extrapolation des données collectées pour des échantillons d’entreprises.

Optique de la production :

Agriculture : Les productions céréalières nettes, auxquelles on ajoute celles des dattes et des légumes, sont valorisées au prix producteur. Le taux de consommation intermédiaire est supposé constant.

Élevage : la production de l’élevage, de lait, et de peaux est établie à partir des effectifs fournis par le Ministère en charge de l’élevage, des paramètres zootechniques supposés fixes (taux de croix, taux d’exploitation, nombre de femelles, lactation moyenne par femelle), et des prix de gros d’animaux sur pied.

Pêche : La production de la pêche artisanale et celle de la pêche industrielle sont calculées à partir des quantités et des prix communiqués par la DEARH. Les valeurs ajoutées sont estimées à partir de taux de consommation intermédiaire supposés fixes (différents pour les deux types de pêche).

Sylviculture et Exploitation forestière : La production est évaluée à partir des consommations des populations rurales en bois et en charbon de bois. Le taux de consommation intermédiaire est supposé constant.

Industries extractives : La production et la valeur ajoutée sont évaluées directement à partir des documents financiers de la SNIM.

Industries manufacturières : L’évolution de la valeur ajoutée de cette branche est estimée à partir d’un échantillon d’entreprises, dont les comptes financiers sont disponibles à la DGI, et qui sont sensées représenter une part constante du secteur.

Artisanat : La valeur ajoutée aux prix courants de ce secteur est supposée évoluer au même rythme que celle des industries manufacturières. Le déflateur utilisé est l’indice des prix à la consommation du groupe « équipement ».

Énergie : La production et la valeur ajoutée sont évaluées directement à partir des documents financiers des sociétés de distribution d’électricité et d’eau.

Bâtiment et travaux publics : Deux secteurs sont distingués : organisé et non organisé. La valeur ajoutée du secteur organisé est estimée à partir des dépenses en BTP exécutées dans le BCI, des comptes financiers des entreprises de BTP disponibles à la DGI, et du montant des crédits accordés aux entreprises de BTP par le secteur bancaire. La valeur ajoutée du secteur non organisé est supposée représenter une part fixe (40%) de la valeur ajoutée du secteur organisé.

Transports et télécommunications : La valeur ajoutée du transport terrestre évolue en volume comme la consommation de gazole et en prix comme le prix du gazole. Les compte financiers des entreprises de transport aérien et de transport maritime (y compris les activités portuaires) disponibles à la DGI permettent d’évaluer la valeur ajoutée de ces entreprises. La valeur ajoutée des agences locales des compagnies aériennes étrangères est supposée évoluer comme la masse salariale qu’elles distribuent. La valeur ajoutée des entreprises de télécommunication est évaluée à partir des informations figurant dans leurs comptes financiers. La valeur ajoutée des cabines téléphoniques gérées par le secteur privé est estimée à partir d’une hypothèse (constante) de valeur ajoutée moyenne.

Commerce, hôtels – bars – restaurants : Pour le secteur formel, la valeur ajoutée est estimée à partir des compte financiers des entreprises disponibles à la DGI, extrapolée à l’ensemble de la branche sur la base du nombre d’entreprises connues et de la valeur ajoutée moyenne par entreprise. Pour le secteur informel, les estimations s’appuient sur une évaluation du nombre d’entreprises et sur un chiffre d’affaires moyen (ou une marge moyenne) par entreprise.

Services non marchands : La valeur ajoutée des entreprises financières est calculée directement à partir des comptes financiers de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM), des banques commerciales et des entreprises d’assurances. Pour les autres entreprises, la valeur ajoutée est estimée à partir des compte financiers des entreprises disponibles à la DGI, extrapolée à l’ensemble de l’activité sur la base du nombre d’entreprises connues et de la valeur ajoutée moyenne par entreprise.

Impôts et taxes : Les montants retenus pour le calcul du PIB correspondent aux taxes sur les biens et services et aux taxes sur le commerce international, telles qu’elles figurent dans les statistiques sur les recettes fiscales de l’État.

Optique de la dépense :

Échanges extérieurs : Les chiffres retenus pour les importations et les exportations sont directement ceux de la balance des paiements confectionnée, conformément à la 4ème édition du Manuel de la Balance des Paiements, par la Banque Centrale de Mauritanie (BCM).

Formation brute de capital fixe (FBCF) : Le montant de la FBCF du secteur public est fourni par le Ministère des Affaires Économiques et du Développement. La FBCF du secteur privé est supposée représenter une part fixe de la FBCF publique.

Variations de stocks : Les variations de stocks prises en compte sont uniquement celles d’animaux d’élevage (croît non exploité) dont la valeur est calculée par l’ONS et celles déclarées par la société en charge de l’exploitation des mines de fer (Société Nationale des Industries Minières – SNIM).

Consommation finale : La consommation finale des administrations publiques est calculée à partir des données fournies par le Ministère des finances sur ses dépenses. La consommation finale privée est obtenue par solde.

VI. Autres aspects

Décrivez brièvement tous autres aspects éventuellement considérés comme importants, tels que la correction des variations saisonnières, les années de base, les années de référence, et les procédures de protection de la confidentialité.

La campagne agricole est à cheval sur deux années civiles : elle débute en juillet de l’année n et s’achève au mois de juin de l’année n+1. L’année de prise en compte de la production est l’année du début de la récolte (n).

VII. Projets d’amélioration

Décrivez les projets à court terme (à un an) et à moyen terme (de deux à cinq ans) des améliorations prévues du cadre de référence et indiquez toutes les améliorations auxquelles il a été procédé au cours des deux années précédentes. Il convient également de préciser, s’il y a lieu, les prestations d’assistance technique ou autres nécessaires à la réalisation de ces projets. S’il a été déterminé qu’il n’existe aucune déficience à corriger, cette conclusion doit être précisée explicitement.

Améliorations récentes :

Le service de la Comptabilité nationale a entamé la modernisation de ses comptes nationaux depuis l’année 2000 en se référant au SCN93 et en utilisant le module informatique ERETES d’aide à l’élaboration des comptes. La nouvelle série de comptes comprend notamment des comptes de biens et services, un Tableau des Ressources et des Emplois, des comptes de secteurs institutionnels, jusqu’au compte de capital, et un Tableau des Comptes Économiques Intégrés.

Projets à court terme :

- Finaliser les comptes 2002 selon le SCN 68 (échéance : juin 2004).

- Finaliser les comptes de 1999, 2000,et 2001 et 2002 selon le SCN 93, (l’année de base 1998 étant déjà achevée) (échéance : 1999 et 2000 : fin 2004, 2001 et 2002 : fin 2005) et publier la nouvelle série de comptes nationaux.

- Participer au programme de comparaison internationale des parités de pouvoir d’achat (PCI-Afrique).

Projets à moyen terme :

- Mettre en place une enquête annuelle sur les entreprises modernes et une autre sur le secteur informel.

- Poursuite des activités entreprises dans le cadre du PCI-Afrique.

Besoins d’assistance technique/besoins de financement/autres besoins :

Projets à court terme :

Assistance technique pour la synthèse des comptes selon le SCN 93.

Pérennisation de la capacité de production des comptes nationaux par la stabilisation du personnel, la poursuite des actions de formation et de perfectionnement des comptables nationaux, et le renouvellement en temps utile des moyens matériels.

Projets à moyen terme :

Assistance technique pour l’accompagnement de l’élaboration des comptes selon le SCN 93.

Poursuite des actions de formation et de perfectionnement des comptables nationaux.
 
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