République Islamique de Mauritanie
Honneur – Fraternité – Justice
FORUM sur les INDICATEURS STATISTIQUES
de SUIVI de la PAUVRETE
FISP-2002
4 au 6 juin 2002
Rapport de synthèse
SOMMAIRE
14. Statistiques selon le genre ; (Mme Maye Mint Haydi Conseillère à la Direction Générale de l'ONS)
15. Esquisse d’une carte de pauvreté ; (Mr. Mohamed Ould Sidi Ould Ely Chef de service à l'ONS).
La Mauritanie s'est dotée d’un Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté (CSLP), au cours de l’an 2000, élaboré selon une approche participative et de partenariat entre le Gouvernement, la société civile, le secteur privé et les partenaires au développement.
Le CSLP fixe un certain nombre d’objectifs chiffrés à atteindre à long terme, à l’horizon 2015, et à moyen terme à l’horizon 2004 après la mise en œuvre d’un programme d’actions prioritaires. Ces objectifs concernent en premier lieu la réduction sensible de l’incidence et de la profondeur de la pauvreté, mais ils portent aussi sur une batterie d’indicateurs en matière de santé, d’éducation et d’amélioration des conditions de vie des populations rurales et urbaines.
Par ailleurs, la mise en œuvre du CSLP est accompagnée systématiquement par des mécanismes d’évaluation des politiques publiques et des progrès réalisés dans un souci d’efficacité et de bonne gouvernance.
A cet effet, un certain nombre d’opérations de collecte de données ont déjà été réalisées : recensement général de la population et de l’habitat, enquête permanente sur les conditions de vie des ménages, enquête qualitative sur la pauvreté, enquête démographique et de santé, enquête de suivi des indicateurs de nutrition, enquête auprès des ménages exploitants agricoles, enquête auprès des entreprises, etc. Ces travaux permettent donc d’actualiser un grand nombre d’indicateurs économiques, démographiques et sociaux.
En application du programme d'activité 2002 du Système National de la Statistique adopté par le Comité Interministériel de la Statistique, avec l'appui du PNUD et du Commissariat aux droits de l'homme à la lutte contre la pauvreté et à l'insertion, l’Office National de la Statistique organise ce premier forum sur les indicateurs statistiques de suivi de la pauvreté dont l’objectif est de faire le point sur les informations statistiques disponibles et les analyses basées sur les résultats des dernières enquêtes réalisées.
Ce Forum, organisé à l'hôtel Mercure-Marhaba du 4 au 6 juin 2002, porte sur les Indicateurs Statistiques de Suivi de la Pauvreté et a pour objectifs de réunir les producteurs et utilisateurs de données pour faire le point sur :
- toutes les informations statistiques disponibles nécessaires au suivi de la pauvreté dans ses diverses dimensions,
- les analyses basées sur les résultats des dernières enquêtes,
- les besoins encore à satisfaire en cette matière,
- et de recommander des actions pertinentes pour l'amélioration des statistiques dans ce domaine à mettre en œuvre avant la prochaine édition du Forum.
Les participants représentent :
- les Structures du Système National de la Statistique
- les Services de planification et d'étude
- l'Université de Nouakchott,
- les Partenaires au développement
- le Secteur privé
- les Elus et la Société civile.
Une page web consacrée aux activités du forum est consultable sur le site de l’ONS (ons.mr).
La cérémonie d’ouverture du Forum sur les Indicateurs a débuté par un mot de bienvenue du comité d’organisation, suivi du discours de Monsieur le Représentant Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), et du discours d’ouverture de Monsieur le Ministre des Affaires Economiques et du Développement.
Les travaux de cette première session étaient consacrés d’une part aux besoins en statistiques de suivi de la pauvreté et d’autre part à la prise en compte de ces besoins par le système national de la statistique.
Monsieur Mohamed Ould El Abed, Conseiller économique du Ministre au MAED, a présenté une communication sur les besoins en statistiques pour le suivi de la pauvreté. Son intervention s’est articulée autour des deux points :
- Rappel sur le Cadre Stratégique de Lutte contre la Pauvreté (CSLP) : outre le contexte du CSLP, il a passé en revue les principaux objectifs aux horizons 2004 et 2015 et les grands axes permettant d’atteindre ces objectifs.
- Besoins en données statistiques afférentes : ces programmes ont conduit à un accroissement des besoins en statistiques. L’intervenant a passé en revue les différents indicateurs à renseigner pour le suivi et l’évaluation des politiques mises en œuvre au titre du CSLP dans les différents domaines.
Monsieur Mohamed Aly Ould Lemrabott, conseiller stratégique au PNUD a rappelé dans son exposé que la Mauritanie a signé le 8 septembre 2000 la Déclaration du Millénaire qui constitue un engagement international de la Mauritanie à l’instar des 190 autres pays signataires ainsi que les agences du système des Nations Unies et les organismes multilatéraux de développement. La déclaration a retenu 8 buts essentiels:
a- Eradiquer l’extrême pauvreté et la faim
b- Réaliser l’éducation primaire universelle
c- Promouvoir l’égalité du genre et le renforcement de la participation des femmes
d- Réduire la mortalité infanto-juvénile
e- Améliorer de la santé maternelle
f- Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et les autres maladies
g- Assurer la durabilité de l’environnement
h- Construire un partenariat mondial pour le développement.
Ces 8 buts ont été traduits en 18 objectifs.
Les indicateurs qui permettent le suivi de la mise en œuvre de cet agenda mondial ont fait l’objet de discussions entre les partenaires au développement (SNU, Banque Mondiale, FMI, OCDE, etc.). Ces discussions ont abouti à la définition d’une batterie de 48 indicateurs consensuels dont certains engendrent de nouveaux besoins en informations statistiques.
Dans l’introduction de son exposé, le Directeur Général Adjoint de l’ONS, Saadna Ould. Baheida a indiqué que la présente étude porte sur les données de l’EPCV réalisée en 2000 sur un échantillon de 6000 ménages représentatifs des Wilayas du pays. Elle constitue une mise à jour du profil de pauvreté réalisé en 1996.
Cette étude fait ressortir une amélioration de la situation au niveau national sur la période 1996-2000, reflétée aussi bien par les indicateurs de mesure de la pauvreté monétaire que par les indicateurs sociaux et par la perception des populations des changements au niveau des services de base.
Concernant la pauvreté monétaire, sa baisse se généralise aux différents indicateurs de mesure de son étendue, de sa profondeur et de sa sévérité. Bien qu’elle soit en baisse dans les villes autres que Nouakchott et dans les zones pluviales, elle s’aggrave à Nouakchott et dans le rural fleuve. La pauvreté reste toujours un phénomène rural : 6 personnes sur 10 vivent en deçà du minimum vital requis.
La pauvreté a baissé dans toutes les wilaya sauf à Nouakchott, au Trarza et au Guidimagha. Les willaya les plus pauvres restent toujours le Guidimagha , l’Assaba, le Gorgol, le Hogh El Gharbi et le Brakna.
Mr Med Aly O. Lemrabott a présenté l’enquête qualitative sur la pauvreté en Mauritanie en commençant par les objectifs de l’enquête qualitative réalisée par le PNUD en étroite collaboration avec l’ONS
La lutte contre la pauvreté ne peut pas être conçue seulement à partir d’une évaluation objective des revenus et des autres indicateurs quantifiables retenus pour mesurer la pauvreté. La LCP doit aussi s’inspirer d’une compréhension des causes de la pauvreté des ménages et de sa dynamique, telles que perçues par les concernés.
Il ressort de cette étude que la priorité doit être accordée à :
- L’approvisionnement en eau potable
- Le développement d’activités productives et l’accès au crédit
- L’amélioration de l’accès aux soins
- Le renforcement de l’éducation
La combinaison de deux démarches méthodologiques complémentaires (quantitative et qualitative) et le croisement des résultats de l’enquête qualitative avec ceux de l’EPCV ainsi que la reconduction de ce type d’enquête à échéances plus rapprochées est de nature à mieux appréhender les phénomènes de la pauvreté en Mauritanie.
Au cours du débat d’importantes questions ont été soulevées et ont fait l’objet de commentaires et de suggestions. Ainsi, concernant la question sur l’insuffisance des données sur l’emploi il a été rappelé que ces données sont apériodiques et que leurs principales sources sont d’une part les recensements qui s’exécutent tous les 10 ans, et d’autre part les enquêtes ménages et entreprises ; s’ajoutent à ces types de sources, les données administratives qui sont pour le moment parcellaires. Le Système d’Information sur le Marché de l’Emploi a pour ambition de rassembler toutes les données existantes pour les mettre à la disposition des décideurs. La meilleure source serait plutôt une enquête emploi-qualification-formation. Il a été noté qu’une enquête démographie et emploi sera réalisée par l’ONS en 2003.
D’autres questions liées au manque d’harmonisation des indicateurs statistiques et l’approche genre qui ne semble pas avoir été prise en compte de façon transversale, ont suscité des débats. Il a été convenu que la création de nouveaux bureaux régionaux de la statistique répondra à la politique de régionalisation de la LCP.
Il est nécessaire de veiller sur :
- la qualité des données, de les publier à temps et respecter le délai de publication
- l’harmonisation des sources de données,
- la problématique des indicateurs
- la spécificité de la définition de la pauvreté en Mauritanie : seuil de pauvreté spécifique à la Mauritanie
- la dimension de la bonne gouvernance
- la prise en compte systématique de l’approche genre.
Mr Amed Oul Isselmou a d’abord précisé que l’EDSM permet de fournir des données variées qui sont liées aux éléments suivants :
- Caractéristiques des ménages et des enquêtés
- Nutrition
- Fécondité
- Nuptialité
- Mortalité
- Planning familial et Préférence en matière de fécondité
- Santé de la mère et de l’enfant
- IST /SIDA
- Pratiques traditionnelles
Trois questionnaires (questionnaires femmes, hommes et communautaires) ont été administrés à un échantillon de 6778 ménages tirés à deux degrés.
Il a ensuite fait un exposé sur une autre approche d’analyse de la pauvreté basée sur l’indice de la richesse qui se définit à partir d’une combinaison d’indicateurs par la méthode de l’analyse des données en composantes principales (ACP). Cette méthode vient compléter l’approche monétaire de la pauvreté.
Dans sa présentation, Dr Nédhirou Ould Hamed, Directeur de la Planification de la Coopération et des Statistiques au Ministère de la Santé et des Affaires Sociales a mis l’accent sur les données de l’EDSM en particulier en ce qui concerne la santé de la mère et de l’enfant. Ces données ont servi à la mise en place d’une situation de référence pour les programmes de santé. Il a passé en revue les mécanismes de collecte et de traitement des données issues du Système National d’Information Sanitaire (SNIS) en précisant que celles-ci enregistrent des retards et feront l’objet d’une reforme très prochainement.
Monsieur Mohamed Laghdaf Ould Cheikh Malainine a présenté une communication sur le RGPH 2000 et ses principaux outputs en relation avec le calcul des indicateurs statistiques pour le suivi de la pauvreté.
Les résultats sont présentés en plusieurs sorties, à savoir :
Les interventions précédentes ont soulevé une multitude de questions et de commentaires montrant l’intérêt des sujets abordés.
La qualité et la pertinence des données ont été soulevées. En effet, certains intervenants ont estimé que les nomades ne sont pas pris en compte dans l’analyse de LCP. En réponse à cette question, il a été noté qu’il y a une absence d’une base de sondage fiable du fait de leur nombre réduit (moins de 5% de la population totale), de l’étendue du territoire national et de la mobilité de cette tranche de la population.
Enfin, les intervenants ont aussi suggéré un approfondissement de l’analyse des données disponibles. Cette amélioration pourrait se faire à travers le recours aux méthodes d’analyse des données notamment l’analyse en composantes principales, analyse factorielle, analyse de classification et doivent donc être intégrées au programme de travail de l’ONS.
Au cours de cette seconde journée, les thèmes ci-dessous ont fait l’objet d’exposés :
Le modèle économique a été mis au point en Mauritanie dès le début des années 90 par le Ministère des Affaires Economiques et du Développement avec l’appui de la coopération technique allemande. Il s’agit là d’un outil d’analyse macroéconomique dont le but est de simuler une variété de scénarios d’évolution de l’économie mauritanienne et de mesurer leur impact sur les grands équilibres macroéconomiques.
Ce modèle appelé MEMAU, utilise 3 types d’informations qui sont, les données de base du passé, une série de variables et des paramètres et une série d’équations qui sont traitées au préalable pour des besoins de cohérence. En outre, il a été rappelé que des sous modèles (secteur rural , pêche, etc…) liés au modèle central ont été créés compte tenu de sa lourdeur et de la volonté du MAED d’impliquer tous les départements techniques dans le processus de modélisation. Il est à préciser que ce modèle est avant tout un outil d’aide à la décision.
Le Modèle 1-2-3 PRSP Mauritanie a été présenté ; son objectif est de mesurer l’impact des politiques macroéconomiques sur la croissance et sa distribution au niveau des ménages.
Conscient de la nécessité de mettre à jour la base sur laquelle sont élaborés les indices de prix à la consommation (IPC) et les comptes nationaux, l’ONS s’est engagé dans la refonte de l’IPC et l’élaboration des comptes en les adaptant aux normes du SCN 93.
La refonte de l’IPC passe par la réalisation de deux enquêtes : l’enquête ménage pour l’établissement des pondérations, et l’enquête point de vente pour l’établissement des prix de base. L’IPC sera disponible à partir du mois d’avril 2003.
L’introduction du module Equilibre Ressources-Emploi et Tableau Entrée-Sortie (ERETES) a permis avec l’appui d’Afristat d’établir les comptes de la nouvelle année de base (1998). Il est prévu d’achever l’élaboration des comptes des années courantes 1999 et 2000 en fin 2002.
Les statistiques monétaires et financières ont été présentées selon 3 niveaux à savoir celui des comptes des autorités monétaires (la BCM), des situations relatives aux banques commerciales et celui de la situation monétaire (monnaie, crédit, avoirs extérieurs, etc). Il a été souligné l’importance de la situation monétaire et des agrégats financiers pour les besoins du suivi des politiques monétaires et de maîtrise de l’inflation.
Au niveau des statistiques rurales, il a été souligné l’importance de la production des statistiques agricoles (la production céréalière, maraîchère, la viande etc. ). En ce sens, il a été mentionné l’exportation de certains produits agricoles (haricot, gombo et melon) vers les pays voisins et l’Europe. Cependant, les données statistiques relatives à l’élevage et à l’environnement souffrent de lacunes.
Par ailleurs, on note l’existence d’un certains nombre d’opérations programmées par le MDRE tels que le recensement agricole et de l’elevage ainsi que le projet d’enquête sur le système d’information des marchés du riz (SIMRiz) dans le but d’alimenter la base de données de ce secteur.
Une méthode d’analyse de données permettant d’évaluer des prédicteurs de la pauvreté sous certaines conditions (qualité des données, restriction du nombre de variables indépendantes etc.) a été présentée. Elle permet entre autres, de classifier les ménages en fonction de leur niveau de vie et de faire des estimations relatives à la pauvreté en l’absence d’information sur la consommation du ménage. En outre, cette méthode permet d’effectuer des analyses complémentaires sur les données de recensement.
L’élaboration d’une étude de faisabilité en 1998 par une équipe de 2 consultants nationaux avait abouti à un état des lieux du système national de production de données sociales et à l’établissement d’une liste d’indicateurs sociaux. Une seconde étude dite d’opérationalisation a été aussi réalisée. La mise en place en cours de la base de données sociales sera complétée par l’installation de modules installés au niveau des départements producteurs de données primaires.
Le logiciel utilisé pour cette base est Child INFO proposé par l’UNICEF.
Par ailleurs, une enquête sur le suivi des indicateurs de nutrition a été réalisée par l’ONS dans le cadre du projet NUTRICOM du Secrétariat d’Etat à la Condition Féminine. Cependant les indicateurs nutritionnels obtenus ne sont pas extrapolables au niveau national car limités aux zones d’intervention du projet NUTRICOM. Elle constitue un élément essentiel du suivi-évaluation de ce projet.
En outre, des indicateurs nutritionnels issus de l’EDSM 2000 ont été présentés
La notion de statistiques selon le genre qui est un domaine nouveau dans les pays en développement a pour but de produire des données statistiques relative à la contribution des femmes et des hommes. Malgré l’insuffisance de données dans ce domaine, un progrès a été enregistré dans notre pays. Il est à reconnaître qu’actuellement les femmes mauritaniennes sont présentes dans plusieurs secteurs économiques et que le taux de scolarisation des filles avoisine celui des garçons.
Des réflexions sur l’importance de l’élaboration d’une carte de pauvreté ont été avancées. Cette carte pourrait être un puissant outil d’aide à la décision permettant l’aménagement rationnelle au profit des populations ciblées.
Les premières remarques ont porté sur la nécessité de traduire les publications de l’ONS en langue arabe afin qu’elles soient accessibles à un grand nombre d’utilisateurs. Des efforts sont entrain d’être fournis actuellement par l’ONS dans ce sens d’autant plus que ce forum a pour but, entre autres, de chercher à identifier les besoins des utilisateurs en matière d’informations statistiques : la diffusion de l’information statistique reste l’une des priorités de l’ONS. C’est ainsi qu’un CD-ROM contenant des documents relatifs à la statistique sur la Mauritanie de 1963 à 2001 conçu par l’ONS, sera mis bientôt à la disposition des utilisateurs.
Des précisions ont été apportées sur l’élaboration du PIB par le module ERETES et de la nécessité de sa ventillation par wilaya. Par ailleurs, il est rappelé aux producteurs et utilisateurs d’informations statistiques l’existence de la nomenclature des produits et des branches d’activités préparées par l’ONS.
Des insuffisances sur la production de données statistiques relatives à l’environnement et à l’élevage ont été soulignées. Concernant ce dernier sous secteur, des difficultés de collecte liées aux aléas climatiques, à la mobilité extrême des éleveurs (nomades) et au manque de moyens adéquats justifient ces insuffisances.
Des soucis relatifs au modèle utilisé dans la détermination des prédicteurs de pauvreté ont été évoqués particulièrement dans le choix du nombre restreint de variables explicatives qui pourraient causer des effets d’interaction entre elles et par conséquent aboutir à des estimations biaisées. En revanche, des précisions ont été apportées dans ce sens tout en rappelant qu’il s’agit là d’un chantier qui mérite beaucoup de réflexions avant d’être mis définitivement au point.
Au terme des travaux du forum, les recommandations suivantes ont été retenues par les participants :
sur les
Indicateurs Statistiques pour le suivi de la Pauvreté
FISP- 2002
Hôtel Mercure 4 au 6 juin 2002
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Horaire |
Mardi 4 juin |
Durée |
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09h00 |
Enregistrement des participants |
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Cérémonie d'ouverture |
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09h30 |
Mot de bienvenue du Comité d'Organisation |
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Allocution de Monsieur le Représentant Résident du Programme des Nations Unies pour le Développement |
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Allocution de Monsieur le Ministre des Affaires Economiques et du Développement. |
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10h15 |
Pause café |
30mm |
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Première Session |
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10h45 |
Besoins en statistiques pour le suivi de la pauvreté (Mohamed Ould EL ABED/ Conseiller/ MAED et Mohamed El Heyba Ould Lemrabott/ Directeur DEP/CDHLCPI) |
15mn |
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Indicateurs de suivi des Objectifs de Développement du Millénaire (PNUD) |
15mm |
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Profil de Pauvreté 2000 (Saadna Ould Baheïda, DGA ONS) |
25mn |
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Faire parler les pauvres : enquête qualitative (PNUD) |
15mn |
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11h55 |
Débats |
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13h15 |
Pause déjeuner |
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14h15 |
Indicateurs du Système National d'Information Sanitaire - SNIS (MSAS/DPCS) |
15mn |
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L'Enquête Démographique et de Santé en Mauritanie (Ahmed Ould Isselmou et Mohamed Lémine Ould Moujtaba ONS/DSDS) |
15mn |
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Le RGPH : Résultats provisoires (ONS/BCR) |
15mn |
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Indicateurs du système éducatif (MEN/DPC) |
15mn |
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15h15 |
Débats |
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16h15 |
Fin des travaux de la première journée. |
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Mercredi 5 juin |
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Deuxième Session |
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09h30 |
Programmation et Modélisation économique (MAED/DPE) |
15mn |
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L'analyse des politiques de réduction de la pauvreté (MAED/CMAP) |
15mn |
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Indicateurs macro-économiques pour le suivi de la pauvreté (Taleb, Lekrama et Dialel Guisset ONS/DSECN) |
20mn |
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10h20 |
Pause café |
30mm |
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10h50 |
Statistiques monétaires et financières (BCM/DE) |
15mn |
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Statistiques rurales (MDRE/DPSE) |
15mn |
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11h20 |
Débats |
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13h00 |
Pause déjeuner |
1h |
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14h00 |
Statistiques selon le Genre (SECF-ONS) |
15mn |
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La Base de Données Sociales (BDS) |
15mn |
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Indicateurs nutritionnels |
15mn |
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Réflexions sur l'élaboration d'une carte de pauvreté (Mohamed Ould Sidi Ould Ely, Cartographe/ONS) |
15mn |
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15h00 |
Débats |
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16h00 |
Fin des travaux de la deuxième journée. |
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Jeudi 6 juin |
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Troisième Session |
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09h30 |
Lecture du projet de rapport de synthèse du Forum |
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10h00 |
Débats sur le projet rapport |
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10h30 |
Pause café |
30mm |
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Cérémonie de Clôture |
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12h00 |
Lecture des recommandations |
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Motion de soutien |
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Allocution de Monsieur le Représentant Résident du PNUD |
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Allocution par Monsieur le Ministre des Affaires Economiques et du Développement. |
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13h00 |
Fin des travaux du Forum |
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